olivier godechot

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Baptiste  @  (2008-01-13 20:09:35)
[Commentant cette page : hoprubrique.php?id_rub=65]

Bravo !
J'attends la suite avec impatience...


Stefanie at Council for European Studies  @  (2007-12-11 17:55:16)
[Commentant cette page : hopcommentaires.php]

Olivier, I saw your presentation of electronic resources on LiensSocio. I found it to be very resourceful. How did you get asked to pick electronic resources for their column? Sincerely Council for European Studies at Columbia University


Samuel  @  (0000-00-00 00:00:00)

Je ne suis pas d'accord avec les préconisations de ton article dans le monde.

A cela deux raisons:

1) Le recrutement "maison" n'a pas que des effets négatifs sur la recherche: il permet une relative continuité dans les projets et les méthodes collectifs de recherche. Bien sur les effets négatifs que tu pointes sont très réels aussi, mais un tableau plus nuancé aurait été préférable je pense.

2) L'élargissement des recrutement risque d'avoir un effet pervers important. En élargissant et unifiant les aires de concurrence entre chercheurs, on risque d'aboutir à une homogénéisation de fait des origines académiques (et partant sociales) des chercheurs. En effet le recrutement "maison" offre des débouchés dans le milieu académique aux diplômés de centres de recherches peu prestigieux, débouchés dont ils risquent d'être systématiquement évincés si l'aire de recrutement s'élargissait. Le nombre de diplômés de l'ENS augmenterait probablement parmi les professeurs de l'université d'Amiens, il serait en revanche très surprenant que le nombre de diplômé d'Amiens augmente parmi les professeurs de l'ENS...
Il pourrait se trouver que le système du "copinage" soit de facto plus démocratique dans ses résultats que le système de la "concurrence académique", "loyale et non faussée" cela va sans dire (je caricature bien sûr). Ce ne serait pas une première.


Guillaume ARNOULD  @  (0000-00-00 00:00:00)

Bonjour M Godechot,

merci de mettre vos bibliographies en ligne.

Juste pour vous signaler que les articles de ARSS sont en ligne gratuitement sur www.persee.fr

et qu'il existe une traduction de l'article de Baker sur les marchés financiers sur le site du cndp (en 2 parties)
http://www.cndp.fr/Produits/detailsimp.asp?Id=69345
et
http://www.cndp.fr/Produits/detailsimp.asp?Id=70267

Sinon bon travail.


Antoine  @  (0000-00-00 00:00:00)

Bonjour,

Je viens de lire deux de vos ouvrages (les traders et working rich) et je voulai vous remercier car ils sont vraiment tres interessants.

Je suis prestataire en informatique et ces ouvrages me permettent de mieux apprender le coté fonctionnel de mes missions dans le milieu de la finance.

Merci

Antoine


Mathilde  @  (0000-00-00 00:00:00)
[Commentant cette page : VWIGO1NpVDk=]

Bonjour Olivier, Je suis tombée par hasard sur ton article et ta photo dans Entreprises et Carrières. Ca fait tout drole d'avoir de tes nouvelles par ce biais là. Alors tu es sociologue. Ca ne m'étonne pas de toi. J'ai été interessée par ton article sur le "working Rich". Ca me ferait plaisir de reprendre contact avec toi pour avoir de tes nouvelles. Amicalement Mathilde


Louis  @  (0000-00-00 00:00:00)

Commentaire sur votre article "recrutement, autonomie et clientélisme"

Vouloir éliminer les pratiques clientélistes et favoriser la mobilité des chercheurs est un souhait dicté par le bon sens que je partage.

Mais les méthodes que vous proposez , sélection accrue au moment de la qualification, interdiction de postuler dans son université d'origine, sont, elles, très discutables.

Dans votre analyse, vous soulignez mais ne remettez pas en cause le déséquilibre flagrant entre l'offre et la demande sur le marché de l'emploi universitaire.
A l'inverse des Etats-Unis, dont vous citez l'exemple, le doctorat reste un diplôme peu valorisé en dehors du monde académique.
Il parait alors pertinent de poser la question de la valorisation de ce diplôme dans le monde de l'entreprise, ou alors de décider de former moins de docteurs (alors que la seule prime des enseignants-chercheurs, la PEDR, les incite à prendre toujours plus d'étudiants en thèse).

Il serait aussi opportun de rappeler que les seuls à payer le prix de la mobilité sont las candidats. Les frais de transport aux auditions ne sont pas pris en charge, pas plus que les frais de déménagement,les enseignants-chercheurs sont les seuls fonctionnaires ne pouvant bénéficier du regroupement familial, les mutations-qui permettraient un brassage plus fort des personnels- ne sont pas encadrées (et donc anecdotiques pour la plupart des disciplines).

Il existe une réponse beaucoup plus simple et efficace pour faire de la politique scientifique : les tutelles. On connait plusieurs exemples ou le CNRS a sanctionné un laboratoire pour localisme, en lui retirant un poste de CR l'année suivante. Il suffirait de systématiser ces pratiques en renforçant le pouvoir et les moyens de nos tutelles et en finançant une véritable politique de mobilité.

Hélas, la mode est aux agences de moyens et aux règles impératives, comme celles que vous suggérez...


Serge Dufoulon  @  (0000-00-00 00:00:00)

bonjour
j'ai beaucoup apprécié votre dernier article dans le monde d'autant qu'il fait écho à nombre de prises de positions que par le passé et qui restent actuelles. Autant dire que pour avoir "évoqué" ces questions de recrutement des enseignants-chercheurs (à tous les niveaux) j'ai attendu un poste 8 ans. J'ai ainsi été HDR qualifié en professeur et Rmiste (sic). Heureusement je dois vous révéler que certains collègues sont des gens sérieux et honnêtes et que c'est à eux que je dois mon recrutement. Aujourd'hui mcf, je retrouve les mêmes pratiques au passage sur les postes de professeurs... Moi c'est ma gueule et mon accent qui ne sont pas conformes je dirais en faisant un peu d'humour...
Je pense que votre proposition est un outil pour relativiser les recrutements iniques à l'université (et dans les grands établissements) mais elle ne peut rester la seule car on peut la contourner aisément. Vous savez qu'un mandarin peut très bien appeler un membre d'une commission de spécialistes en lui demandant de faire nommer son poulain sachant que l'inverse sera vrai et pendant 4 ans le nouveau promu aura un poste et pourra par la suite réintégré son université d'origine ou non. Certains comme en économie proposent un système de points pour des publications d'articles, de livres, de rapport de recherches, cours, etc., cela fonctionnerait si les comités de lecture des revues n'étaient pas des places fortes que certains défendent pour pouvoir y placer leurs petits papiers et ceux de leurs relations.
J'avoue que depuis 1995 date à laquelle j'ai eu ma thèse et j'ai commencé à réfléchir à ces problèmes des recrutements avec d'autres je ne sais toujours pas ce qui pourrait fonctionner. Il me semble pour donner une image triviale qu'à l'image des politiques qui sont des baronnets dans les fiefs qui sont les leurs (mairie, conseils généraux, conseils régionaux, etc.)certains professeurs d'universités et de grandes écoles ou du CNRS agissent en pensant et en croyant qu'ils sont les maîtres d'un territoire symbolique, social, économique et qu'ils contribuent aux échanges à l'intérieur et avec l'extérieur voire ils se font fort de les réguler... Cela tient à la fois du mandarinat et du Gurutage...
"Science sans conscience..." Judith Lazar a écrit un livres sur ce qu'elle a appelé "les secrets de famille de l'université", intéressant... Son cas aussi d'ailleurs. Olivier si vous le souhaitez un jour peut être nous pourrions créer un groupe de réflexion sur le sujet des recrutements, j'en serai ravi.
Cordialement.
Serge Dufoulon


Bernard CHANTEBOUT  @  (0000-00-00 00:00:00)

Ayant longtemps présidé la commission de spécialistes de droit public de Paris V, et un moment aussi celle de spécialistes de science politique, j'approuve sans réserves votre idée d'une mobilité obligatoire entre la thèse de doctorat et le recrutement. Le localisme est en effet une des plaies de l'Université : injustices et sclérose.



Brice  @  (0000-00-00 00:00:00)

Merci pour votre dernier article publié dans Le Monde. Un peu d'air frais dans l'univers clos et moisi de l'université... Votre proposition finale est par ailleurs très convaincante.


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